LES
DONN�ES PR�SENT�ES DANS LE CADRE DU CONGR�S DE L�ICAAC APPUIENT
L�UTILISATION DE VIRACEPT COMME TRAITEMENT DE PREMI�RE INTENTIONL��tude
d�montre que plus de 80 p. 100 des isolats viraux provenant de patients trait�s par
VIRACEPT retiennent leur sensibilit� � FORTOVASE ou � Amprenavir
De nouvelles donn�es appuient la puissance et la facilit�
d�utilisation
Le dosage biquotidien accro�t la commodit�, ainsi que la collaboration du
patient
San Francisco, le 27 septembre - Une nouvelle �tude a d�montr� que les
patients trait�s � l�aide de VIRACEPT (m�sylate de nelfinavir) avant que
d�autres inhibiteurs de la prot�ase ne soient utilis�s sont moins aptes �
d�velopper une r�sistance crois�e aux autres inhibiteurs de la prot�ase m�me si une
r�sistance du VIH � VIRACEPT se d�veloppe. Les renseignements concernant les avantages
en mati�re de r�sistance crois�e sont susceptibles d�aider les m�decins et les
patients � choisir des traitements qui optimiseront la puissance et la durabilit� des
traitements anti-VIH tout en conservant d�autres options de traitement pour
l�avenir. L��tude pr�sent�e ici aujourd�hui a examin� tous les
inhibiteurs de la prot�ase disponibles � l�heure actuelle et a constat� une
variation dans le degr� de r�sistance crois�e�: l�usage ant�rieur de
l�indinavir �tait associ� � une plus grande r�sistance crois�e que l�usage
ant�rieur de VIRACEPT et des autres inhibiteurs de la prot�ase �tudi�s.
La r�sistance crois�e fait r�f�rence au ph�nom�ne selon lequel un virus qui
poss�de la capacit� de r�sister aux effets antiviraux d�un m�dicament peut
�galement r�sister aux effets d�autres m�dicaments de la m�me classe.
�Puisque de nombreux patients subissent un �chec au cours d�un traitement
initial par agent antir�troviral, il est �vident que nous devons utiliser les
m�dicaments dont nous disposons le plus prudemment possible, a d�clar� M.
Richard�Haubrich, M.D., professeur adjoint de m�decine � l�Universit� de la
Californie (San Diego) et chercheur principal de l��tude. � mesure que nous
acquerrons des connaissances sur les profils de r�sistance pr�cis des m�dicaments
individuels, nous pourrons avoir recours � des agents qui sont moins aptes � limiter les
options de traitement futures des patients. La conception des sch�mas de traitement
pourrait tenir compte du d�veloppement d�une r�sistance antir�trovirale afin
d�offrir des avantages � plus long terme aux patients.�
L��tude multicentrique du California Collaborative Treatment Group a examin� les
diff�rences de susceptibilit� ph�notypique aux inhibiteurs de la prot�ase apr�s
l��chec du premier traitement contenant un inhibiteur de la prot�ase. L�essai
a �tudi� 116�patients ayant un VIH � ARN de 4,1 Log10 copies/ml et une num�ration
des CD4 m�diane de 295�cellules/mm3; 96 patients avaient �t� trait�s
ant�rieurement par inhibiteur de la prot�ase. Chez les patients trait�s ant�rieurement
� l�aide de VIRACEPT, 84 p. 100 des isolats viraux sont demeur�s susceptibles �
FORTOVASE (saquinavir) et 83 p. 100 � Amprenavir.
Seulement 29 p. 100 des patients ayant re�u VIRACEPT �prouvaient une susceptibilit�
r�duite � deux inhibiteurs de la prot�ase ou plus; 70 p. 100 ayant re�u
l�indinavir pr�c�demment avaient une susceptibilit� r�duite et 43 p. 100 de ceux
qui avaient ant�rieurement re�u d�autres inhibiteurs de la prot�ase avaient une
susceptibilit� r�duite (p=0,001).
Une �tude d�montre que VIRACEPT am�liore l�adh�sion du patient au
traitement
L�usage d�inhibiteurs de la prot�ase qui sont bien tol�r�s par les
patients et faciles � utiliser constituent la norme id�ale dans le traitement du VIH.
Une �tude pr�sent�e au congr�s de l�ICAAC d�montre l�action antivirale
puissante et la tol�rabilit� de VIRACEPT, tout en r�affirmant l�avantage
qu�il pr�sente au point de vue commodit� comparativement aux autres inhibiteurs de
la prot�ase � un avantage qui peut aider les patients � tirer le maximum de leur
traitement.
L��tude qui a �t� pr�sent�e par le Dr B. Broca de l�H�pital
g�n�ral de Castellon, en Espagne, portait sur 112 patients d�j� trait�s randomis�s
divis�s en deux volets�: VIRACEPT + d4T + 3TC ou indinavir + d4T + 3TC. Les groupes
VIRACEPT et indinavir ont obtenu des r�sultats diff�rents significatifs sur le plan de
l�ob�issance au traitement. � six mois, 70 p. 100 des patients qui prenaient
VIRACEPT se conformaient ad�quatement au traitement, tandis que seulement 48 p. 100 des
patients du groupe indinavir observaient ad�quatement le traitement (p 0,0311). Les
effets secondaires ont �galement influenc� l�adh�sion au traitement, car seulement
12 p. 100 des patients trait�s � l�aide de VIRACEPT ont cess� de participer au
cours des six premiers mois, tandis que 34 p. 100 des patients trait�s par indinavir ont
interrompu leur traitement m�dicamenteux au cours de la m�me p�riode.
Les chercheurs ont conclu que tandis que l�efficacit� des deux traitements �tait
similaire, les patients trait�s � l�aide du sch�ma comprenant VIRACEPT ont
d�montr� un niveau d�observance plus �lev� pouvant mener � des bienfaits
cliniques � plus long terme comparativement aux patients trait�s par indinavir.
Le dosage biquotidien continue � d�montrer la souplesse de VIRACEPT
Donnant du poids aux avantages de VIRACEPT sur le plan de la commodit�, une �tude
pr�sent�e ici a fourni des donn�es compl�mentaires qui appuient le recours � VIRACEPT
dans le cadre d�un sch�ma de dosage biquotidien. Un dosage biquotidien donne
davantage de souplesse et de libert� aux patients et favorise l�adh�sion au sch�ma
de traitement en g�n�ral.
M. R. Clark, M.D., de l�Universit� Louisiana State, a pr�sent� des donn�es
fond�es sur une �tude prospective de 48 semaines connue sous le nom de Women First
Study, qui a �valu� un sch�ma mixte comprenant 1250 mg de VIRACEPT deux fois par jour +
1000 mg de FORTOVASE deux fois par jour + des doses standard de d4T et de 3TC; ce sch�ma
a �t� compar� � un sch�ma semblable fond� sur un dosage trois fois par jour.
L�analyse des sujets retenus au d�but de l�essai clinique a d�montr� que le
volet deux fois par jour �tait plus efficace que le volet trois fois par jour en ce qui
concerne la r�duction de la charge virale (VIH � ARN < 50 copies/ml = 67 p. 100
contre 50 p. 100 respectivement) et avait un effet semblable sur l��l�vation de la
num�ration des CD4 (182 cellules/mm3 contre 170 cellules/mm3, respectivement).
Les inhibiteurs de la prot�ase suppriment la charge virale plus longtemps que
les inhibiteurs non nucl�osidiques de la transcriptase inverse (INNTI)
Julio Montaner, M.D., de l�H�pital St. Paul de Vancouver, a pr�sent� les
donn�es r�trospectives d�une �tude qui a d�montr� que les sch�mas bas�s sur
trois m�dicaments renfermant un inhibiteur de la prot�ase ont men� � une suppression
plus durable de la charge virale de VIH que les sch�mas �mod�r�s en prot�ase� qui,
au lieu d�utiliser un inhibiteur de la prot�ase, rempla�aient ce dernier par un
inhibiteur non nucl�osidique de la transcriptase inverse.
Les donn�es sur 151 patients qui ont re�u un traitement triple dans le cadre des
essais INCAS (AZT + ddl + n�virapine), AVANTI 2 (indinavir + AZT + 3TC) et AVANTI 3
(VIRACEPT + AZT + 3TC) avec un niveau minimum de VIH � ARN allant de 20 �400
copies ont �t� regroup�es dans une seule base de donn�es. Apr�s avoir effectu� un
contr�le des diff�rences de r�f�rence de la charge virale, de la num�ration des CD4
et de l�adh�sion au traitement qui existaient entre les trois essais, on a constat�
des diff�rences statistiquement significatives quant aux p�riodes o� la charge virale
demeurait inf�rieure � 500 copies/ml, inf�rieure � 1�000 copies/ml et inf�rieure
de 1 Log10 au niveau de r�f�rence.
Parmi les patients qui se situaient entre la limite de l��valuation quantitative
et 400�copies/ml, ceux qui avaient �t� affect�s � l�un ou l�autre des
sch�mas renfermant un inhibiteur de la prot�ase ont fait �tat d�une suppression
virologique plus soutenue que les patients affect�s au sch�ma AZT + ddl + NVP, le
sch�ma contenant un inhibiteur non nucl�osidique de la transcriptase inverse.
VIRACEPT est commercialis� � l�ext�rieur des �tats-Unis et du Canada par la
soci�t� F. Hoffmann-LaRoche Ltd., de B�le, en Suisse.
Hoffmann-LaRoche, dont le si�ge social est situ� � B�le, en Suisse, est chef de
file mondial de la recherche dans le secteur des soins de sant�. La Soci�t� exerce ses
activit�s dans les domaines des produits pharmaceutiques, des diagnostics, des vitamines
et des parfums et des ar�mes. Les produits et services de Hoffmann-LaRoche visent la
pr�vention, le diagnostic et le traitement des maladies, am�liorant ainsi le bien-�tre
et la qualit� de vie des gens.